L’Aube accueille son nouveau préfet : Pascal Courtade
Écrit parRédactionle 11 novembre 2024
Le 11 novembre, à l’occasion de la cérémonie marquant le 106e anniversaire de l’Armistice de 1918, Pascal Courtade a officiellement pris ses fonctions de préfet de l’Aube. À 47 ans, cet ancien préfet délégué des Yvelines débute ainsi sa première nomination en tant que préfet de département.
Originaire du Pays-Basque, il se réjouit de découvrir l’Aube, un territoire encore méconnu pour lui. « Tout le monde m’a dit que j’avais de la chance d’arriver dans ce département où il fait bon vivre et où l’on aime vivre. La meilleure chose dans l’Aube, ce sont les Aubois, et je serai là pour travailler avec eux », confie le père de 3 enfants.
Dès ses premiers jours à la préfecture, le diplômé de l’ENA et de Sciences Po a exprimé sa volonté d’agir rapidement sur les enjeux locaux, notamment ceux liés à l’agriculture. « Mon premier déplacement sera pour une exploitation agricole. Nos agriculteurs traversent une période difficile, et mon rôle sera de les écouter, de les aider et de faire remonter leurs préoccupations pour les soutenir dans cette crise qui dépasse le cadre local », précise l’ancien Officier de la Marine française.
Il prévoit également de parcourir le département pour rencontrer les acteurs économiques et visiter des lieux emblématiques comme l’Abbaye de Clairvaux et la future réserve naturelle nationale de la Seine champenoise.
Parmi ses priorités, Pascal Courtade évoque également la sécurité, un domaine qu’il considère comme un « chantier majeur » pour l’État. La lutte contre les stupéfiants, les violences intrafamiliales et l’immigration, ainsi que la prévention de l’islamisme, seront au cœur de son action. « Je ferai tout pour que nous soyons tous au rendez-vous avec les services compétents » conclut-il.
Quant à Cécile Dindar, l’ex-préfète de l’Aube, elle devrait bientôt rejoindre le ministère de la Ruralité, du Commerce et de l’Artisanat, en tant que directrice de cabinet de Françoise Gatel.

Raffart On 15 décembre 2024 at 21:26
De quel droit ce Préfet demande l’euthanasie d’une femelle sanglier, sauvée d’une mort certaine quand elle n’était qu’un bébé ! Il y a un décret qui autorise celle qui l’à élevée à la garder. Mais apparemment ce préfet l’ignore et agît donc en dejors de la moi. Quant à l’office nationale de la faune sauvage, ils sont hors la loi aussi.